ANALYSE DES PRATIQUES

ANALYSE DES PRATIQUES (en collectif) et SUPERVISION (individuelle)

- Vous rencontrez un sentiment d’échec dans certaines activités sociales ou professionnelles
- Vous souhaitez améliorer certains de vos comportements ou conduites
- Vous déplorez de ne pas être plus pertinents dans certaines situations
- Vous vous sentez mal dans vos activités ou votre travail
- Vous vous sentez épuisé, vous vivez un sentiment de manque de reconnaissance, de colère, vous trouvez votre travail insensé
- Vous souffrez au travail malgré vos efforts
- Vous souhaitez aller vers un changement sans y parvenir

• L’analyse des pratiques vous propose une méthodologie professionnelle pour analyser en profondeur les enjeux institutionnels, culturels, environnementaux, sociopolitiques, collectifs et individuels qui vous freinent dans l’accomplissement de votre activité ou de votre projet.
Elle se pratique en collectif, avec des pairs, ou pas.

Ma méthode est souple et les étapes proposées peuvent se nuancer en fonction des situations :

1 - Présentation : Une personne présente la situation problème telle qu’elle la vit et la ressent. Elle peut aussi adresser une question particulière au groupe par rapport à ce qui lui pose problème particulièrement. Les participants écoutent et ressentent comment ils perçoivent la manière dont est exposée la situation, ce qui ressort de dominant et ce qui n’apparait pas dans l’exposé.

2 - Clarification : Les participants posent des questions pour faire préciser des informations et clarifier les points qui leur paraissent importants

3 - Analyse : L’étape la plus essentielle est alors l’analyse collective de la situation, dans ses enjeux institutionnels, groupaux, interindividuels et personnels. Tous les participants sont invités à élaborer des hypothèses de compréhension en utilisant à la fois leurs connaissances mais aussi leur sensibilité pour accompagner la personne qui a présenté sa situation à élargir sa compréhension des problématiques dominantes, mais aussi des ressources disponibles pour avancer vers certains objectifs.

4 - Synthèse : L’animatrice résume et condense les éléments essentiels évoqués en apportant des éléments théoriques éventuels qui peuvent approfondir l’analyse (voir article joint sur l’épistémologie en analyse des pratiques). Ma « spécialité » consiste à partir des problèmes en extériorité, pour aller « en entonnoir » vers les problèmes vécus en intériorité par la personne, qui touchent son existence même, sa personnalité et le sens qu’elle met dans ses activités…

5 - Propositions d’actions : les participants font des propositions d’actions alternatives pour résoudre les problèmes en extériorité et en intériorité.

6 - Débat : La personne qui a présenté sa situation peut rebondir sur certaines hypothèses et propositions qui l’ont éclairée particulièrement, et le groupe interagit en rebondissant sur de nouvelles propositions éventuellement.

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• La supervision peut également vous aider par un travail individualisé, qui va dans le même sens, mais permet d’aborder des sujets plus personnels qui impactent votre vie sociale ou professionnelle.

Voici un article concernant l'épistémologie en analyse des pratiques :

Pensées incarnées à transmettre

Cet écrit cherche à élaborer ce qui fonde et nourrit le travail que je mène depuis près de 30 ans auprès de travailleurs sociaux pour les aider à analyser leurs pratiques. Il me semble essentiel d'affirmer, pour commencer, que ce travail suppose surtout la transmission de certaines valeurs, d’un certain regard critique, d’une capacité de problématisation, d’un certain rapport aux savoirs, d’une attitude herméneutique. Bref, ce travail exige une posture particulière, de la patience et de la retenue pour favoriser le cheminement des personnes et suspendre le désir de donner des réponses trop rapidement. Autrement dit, je vise à la fois dans ces instances, à saisir une culture professionnelle, avec ses codes, ses habitus, ses manières de faire, ses méthodes etc., mais aussi et surtout, à ce que chaque participant trouve sa voie, son style, et travaille sa propre identité professionnelle. Chacun peut explorer ses valeurs et ses normes, ses croyances et ses projections, ses ambivalences et ses conflits internes, et approfondir la compréhension de son implication dans la relation professionnelle. C’est un travail de retournement sur soi où se questionnent les fondements identitaires et parfois aussi le choix du métier. Dans cette perspective, mon épistémologie est fondée à la fois sur des savoirs disciplinaires, en psychosociologie, sciences politiques, économie politique, psychologie, psychanalyse etc. Mais elle est fondée surtout sur un certain rapport à ces savoirs, pour qu’ils ne deviennent jamais des remparts au détriment de la rencontre, mais seulement des supports pour mieux penser les pratiques et permettre aux professionnels d’être réellement écoutés, et accompagnés dans leur questionnement et dans leurs actes. Dès lors, je voudrais préciser les savoirs de base que j'utilise et ma conception épistémologique pourrait s’énoncer « en entonnoir » :

Mon trépied à moi c’est çà !

Cette vision en « entonnoir » d’une posture pertinente s’appuie sur trois matériaux fondamentaux.

1) Une certaine conception du sujet

Le travail sur les aléas, les incertitudes, la complexité et l’impossible dans l’analyse des situations est tout à fait fondamental ; c’est un travail avec l’infini, avec ce qui ne sera jamais certain. Travailler avec d’autres, c’est non seulement développer des stratégies gérées consciemment et activement pour acquérir des compétences, mais aussi découvrir et assumer ses zones de fragilité ; dans l’analyse des pratiques chaque personne va devoir s’exposer, se laisser interpeller, remettre en question ses convictions, certitudes, comportements. Chacun va se confronter au conflit, se sentir impuissant, reconnaître ses limites… Il s’agit donc de prendre en compte cette vulnérabilité, d’être attentif à cette part fragile et peu amène du Soi professionnel pour lui laisser la possibilité d’être entendue, et de créer un espace de travail favorable à cet accueil.

2) Un certain rapport au savoir

Mon approche du savoir est non dogmatique et transdisciplinaire ; les référents théoriques peuvent être sociopolitiques, sociologiques, ethnologiques, psychosociologiques, psychologiques. Et si l’orientation psychanalytique dessine une certaine direction de travail, prenant en compte la place de l’inconscient dans l’acte professionnel, il est clair pour moi qu’il s’agit d’une clinique sociale ; c’est-à-dire que la psychanalyse éclaire la compréhension de situations contextualisées et complexes. C’est donc une grille de lecture parmi d’autres. J’inclus les surdéterminations économiques, sociales et culturelles auxquelles doivent faire face les professionnels. Autrement dit, mon approche dans le travail en groupe est toujours multipolaire et nous gardons en tête les enjeux du contexte socioéconomique et politique, la complémentarité des structures sociales et des psychismes individuels. Au fond, ce que je vise surtout en analyse de pratiques, c’est une certaine mutation du rapport au savoir : Le savoir, il faut d’abord travailler beaucoup pour l’acquérir, puis travailler encore pour s’en défaire afin de venir vers autrui à partir de ce point d’évidement. Les métiers de l’humain sont tournés vers le doute, la vigilance critique ; et la fragilité des savoirs est la seule certitude. Dans ce champ de pratique, ce que le professionnel ne sait pas peut être une aire de potentialités, et ce qu’on ne voit pas peut être aussi essentiel que ce qui apparaît.

Dans cette optique, tout un travail d’accompagnement prend sa place. Parce que la tentation de certains participants est souvent de vouloir savoir et comprendre vite, le savoir est conçu comme ce qui permet de tout résoudre et d’avoir réponse à tout, grâce à des connaissances et des « bonnes pratiques » à utiliser dans tel ou tel cas. La connaissance espérée alors, c’est celle qui permettrait de saisir immédiatement et « objectivement » les causes des comportements par des explications rationnelles, et dicterait aisément des solutions. C’est de plus ce qu’attendent la plupart des employeurs : résoudre des problèmes par des plans d’actions rapides et efficaces, bien connaître les institutions pour y intégrer les populations le plus directement possible, utiliser les dispositifs pour faire entrer les personnes vulnérables dans les cases prévues à cet effet… Ce savoir pressé est rabattu sur un objet de besoin, un objet technique délivrant une compétence immédiate, une sécurité et un pouvoir qui protège… J’essaie donc de réintroduire plutôt une conception du savoir comme point de référence et comme condition d’appropriation subjective. Le savoir pertinent ici n’est pas la connaissance et il exige un travail sur soi ; cela demande du temps, de la patience, de l’effort, du détour. Pour autant ces demandes de sécurité doivent être entendues et prises en compte. Dès lors, dans ma pratique, les références théoriques servent de point d’appui, et en même temps je me positionne parfois dans une forme d’esquive avec doigté ; toute demande ne nécessite pas de réponse immédiate, mais demande à être entendue...

3) Des références de base

Pour pouvoir mettre en œuvre tout ce que je viens de décrire, il faut sans doute tout un arrière fond culturel qui s'élabore progressivement. Ces savoirs s'inscrivent lentement et profondément, d'une façon explicite mais aussi souvent implicite, lors des débats et des controverses professionnelles.

Il faut tout d’abord acquérir des savoirs philosophiques pour apprendre à penser, à problématiser, à engager une analyse critique. Je cite souvent Heidegger (« Qu'appelle t-on penser?), Nietzsche, Derrida, Deleuze et Guattari (« Qu'est-ce que la philosophie? »), Foucault et E.Morin pour une approche de la complexité.

- Des savoirs en psychosociologie des organisations sont ensuite nécessaires pour approcher la complexité des institutions où travaillent les professionnels, leurs cadres organisationnels particuliers, leurs systèmes hiérarchiques et fonctionnels, pour pénétrer dans la logique de leurs habitus et comprendre les fonctions et la place qu’ils occupent. Quelques références sont pour moi incontournables à cet effet : Enriquez (l’organisation en analyse), Ardoino (l’approche multiréférentielle et la distinction entre l’agent, l’acteur, l’auteur pour comprendre la place et la posture des professionnels et des populations avec lesquels ils travaillent), Crozier (l’acteur et le système).

- Des connaissances particulières aux différents champs professionnels peuvent bien sûr être utiles, par surcroît : Connaître la législation spécifique, l’économie et les rouages administratifs de telle ou telle institution aidera à poser des questions plus pointues aux professionnels qui exposeront leurs situations problème. Mais ce n’est pas indispensable à mon avis, si l’on considère ma position en analyse de pratique qui est plutôt socratique.

- Il y a aussi des savoirs professionnels qui peuvent être utilisés car ils forgent les habitus ; ce sont des savoirs complexes, qui tressent ensemble des savoirs disciplinaires diffus, des savoirs expérientiels, des savoir-faire méthodologiques, des gestes professionnels, des postures éthiques et des valeurs, portées par des modes de pensées spécifiques et implicites, reconnues par le milieu professionnel comme indispensables. Je peux citer ici tout le courant des chercheurs qui travaillent sur les gestes professionnels (A.Jorro, les équipes du LIRDEF de l’IUFM de Montpellier etc.), M.Vial et N.Mencacci qui travaillent sur les savoirs de l’évaluation implicite et de l’intelligence rusée, de la Métis. Tous ces chercheurs mettent en valeur les savoirs expérientiels incorporés, pour qu’ils deviennent des savoirs de l’expérience, formalisés.

- Au-delà de ces savoirs disciplinaires, de connaissances spécifiques aux différents champs professionnels, et des savoirs professionnels typiques de chaque profession, l’épistémologie de l’analyse de pratiques implique encore des savoirs cliniques tout à fait essentiels: L’implication du Sujet constitue la caractéristique essentielle de la démarche clinique utilisée dans ces instances de travail. Reste à préciser de quel Sujet on parle. En tous cas, celui-ci est sollicité à s’impliquer dans l’exposé de sa situation professionnelle, et l’analyse de cette situation qui sera faite en groupe et avec moi mobilise des dimensions idéologiques et psychiques. Il s’agit de les (re)connaître et de savoir ce qui peut en être fait. La clinique du travail est une grille de lecture pertinente pour analyser l’ici et maintenant de la rencontre à partir de savoirs situés. Mais l’engouement actuel pour les savoirs d’action me paraît occulter d’autres savoirs, moins récents et tout aussi essentiels. Il y a des savoirs valorisés à certaines époques, et d’autres non…« Qu’est ce que çà cache cette affaire là ? » dit J.Houssaye...La tendance actuelle est à plus d’objectivité et les savoirs issus de l’analyse de l’activité ont plus de crédibilité aujourd’hui. Mais est-ce plus fécond pour penser l’acte professionnel ? On voit là en tout cas combien la toile conceptuelle utilisée en analyse des pratiques va être déterminante et met en exergue en même temps les valeurs de l’animateur. Pour moi, le travail en analyse de pratiques est aussi un travail de déconstruction identitaire, de désidéalisation et de désillusion qui n’est pas directement observable, qu’il faut accompagner avec délicatesse, et qui demande une « culture psychanalytique » (avec C.Blanchard Laville, M.Cifali, F.Giust Desprairies, F.Hatchuel, F.Imbert, R.Kaës, etc.).

- Enfin mes perspectives de recherches actuelles m’orientent vers d’autres savoirs encore, qui sont difficiles à nommer et issus d’une multitude de courants théoriques : Savoirs sensibles (A.Bouillet), Savoirs corporels (C.Pujade Renaud sur le corps de l’enseignant dans la classe), Savoirs phénoménologiques (M.Merleau Ponty), Savoirs sémiotiques (R.Barthes), Savoirs poétiques et littéraires (H.Maldiney,H.Michaud, C.Juliet, B.Noël, M.Leiris, C.L.Combet, P.Quignard), Savoirs de la Métis (M.Detienne et J.P.Vernant sur les ruses de l’intelligence et la métis des grecs), l’imagination créatrice de C.Castoriadis, l’imaginaire collectif de F.Giust Desprairies, Savoirs cliniques issus de la théorie psychosociologique existentielle de R.Barbier, des approches de l’émotion de M..Pagès, des approches psychanalytiques atypiques (de J.B.Pontalis, F.Imbert, L.Israël, J.Kristeva), Savoirs esthétiques (B.Saint Girons sur l’acte esthétique), Savoirs créatifs, Savoirs de l’inédit, ce sont en tout cas des savoirs subtils, implicites, non observables le plus souvent, qui s'adressent au corps et à la créativité de la personne et supposent un travail de conscience de soi que je tente de faire émerger dans les groupes d’analyses de la pratique, pour que les professionnels aiguisent leurs cinq sens et soient attentifs à l'infime et au presque rien, à mieux regarder, mieux écouter, mieux ressentir les atmosphères et les rapports entre les personnes C'est un certain sens du « kaïros » qui permet d’intervenir au bon moment et de façon ajustée pour que cette dimension qui articule sensibilité et intelligibilité puisse apparaître.

Ainsi, la finesse d’observation, la qualité d’une écoute sensible attentive aux dessous du discours, la possibilité de ressentir d’infimes mouvements changeants dans les groupes, la reconnaissance des affects qui traversent les débats, l’accueil de l’embarras et la possibilité d’être touché par lui, sont des dimensions qui sont du registre d'une esthétique, et qui vont devoir être affiné tout au long de l’intervention. Ce qui fonde la qualité relationnelle dans les métiers de l’humain passe par le corps : établir le contact, trouver une position spatiale ajustée, un geste vers l'autre, échanger des regards, une voix adaptée, tout cela suppose un engagement corporel et un mouvement vers l'autre avec la conscience de ses émotions, sensations, sentiments.

Conclusion : Pour une éthique de la complexité et du sujet averti

Ainsi ma fonction est complexe : car il s'agit à la fois d'accompagner les professionnels dans la liberté, respecter leur singularité, mais aussi dans un contexte et des systèmes de contraintes fortes ; Prendre en compte à la fois chaque personne et son désir, mais ne pas répondre à l'endroit de sa demande nécessairement ; Accompagner à la fois des “groupes de travail” c'est à dire tenir les objectifs prévus, mais prendre en compte aussi le “groupe de base” qui peut venir parasiter le travail par les manifestations de l'inconscient groupal. Accompagner les participants dans leur chemin mais en même temps ne pas nier mon désir de laisser une empreinte de ma conception professionnelle (ex. Je ne supporte pas les normopathes!!) Ainsi j’essaie de passer du désir d'emprise à une certaine maitrise de mes affects ; je tente de prendre en compte ce que je sais de ces phénomènes d'emprise à l'œuvre et je travaille mes interventions dans le sens d'une certaine dépossession... Je fais confiance à la parole, à la rencontre; il y a du possible à venir même si on n'atteint jamais l'inaccessible! Notre travail est une création collective, incertaine et continue ; il y a une prise de risque à cet endroit dans toute rencontre et mon travail spécifique est celui d'un dessaisissement ; je propose seulement un certain sens clinique, un certain regard, une certaine écoute, j’essaie de donner le goût de la recherche et du savoir incertain.

Je ne sais pas tout sur ce que je tente, ni sur ce que je produis... c'est en ce sens que je conçois la transmission. J’ai souvent des surprises par rapport à ce que personnes retiennent de mes interventions : par exemple :

- « ce qui m’a vraiment séduite c’est votre capacité à faire émerger de nos pratiques des thèmes que vous pouviez relier à la théorie et sur lesquels vous rebondissiez »

  • « en fait, j’avais parfois l’impression que ce que je notais était simple, évident, et que je le savais déjà ; ce qui était compliqué, pas évident, et que j’ignorais, j’étais incapable de le prendre en note de toute manière (…) les notes presque mécaniquement prises ont induit certaines impressions dans mon souvenir, m’ont donné l’impression de pressentir un continent inconnu et d’en comprendre certains aspects. »

« J’ai aimé : les questions suspendues (ces questions vont nous poursuivre… ) ; le fait de mettre des mots sûrs en disant « il me semble que » ; d’utiliser la voie du biais ; éviter le frontal et ses risques ; un dialogue incessant entre les références théoriques et les situations exposées par le groupe. »

Il y a des points d'énigme qui échappent à mes prévisions, à mon contrôle et à mes intentions. Ainsi je propose une éthique qui intègre nos erreurs, ratages, oublis, embarras, dérapages et rebondissements comme constitutifs de notre démarche, qui nous amène aussi à une pratique d'interrogations de nos principes et de nos convictions, sans nous « arracher » sur les mots mais plutôt en nous demandant comment vivre et travailler avec les autres et avec notre propre altérité; L'exigence éthique laisse ouvert un espace d’indétermination où chaque professionnel peut s’exposer sans être trop vite écrasé par la nécessité d'une « bonne pratique » . Ainsi, comme le dit Barthes, notre paradigme « grincera, le sens sera précaire, révocable, réversible, le discours sera incomplet... »

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